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  • Photo du rédacteurVivre République

Reportage sur BFM TV

Dernière mise à jour : 21 mars 2021

Par Alexandra Jaegy, le 8 novembre 2019


Les riverains de la place de la République dénoncent des nuisances sonores trop importantes


Riche en symboles, la place de la République est devenue un lieu privilégié des parisiens pour se rassembler, manifester ou célébrer un événement. Excédés, ses riverains ont créé un collectif afin d'interpeller les collectivités, jugeant que la place "est devenue un lieu inhospitalier pour ses riverains". Devenue un point de contestation permanent avec des rassemblements organisés tous les week-end, la place de la République est devenue une zone invivable pour ses riverains. Nuisances sonores importantes, encombrement du quartier, les habitants dénoncent une situation catastrophique. "Il y a certains jours où c'est même difficile de travailler et de se concentrer à cause de l'amplification du son", dénonce Clotilde, habitante près de la place de la République. Une "double peine" Afin d'interpeller les autorités, les riverains ont créé le collectif "Vivre République", rattaché à l'association "Vivre Paris". Dans un manifeste appelé "République: rendons la place à ses riverains!", le groupe dénonce une "double peine". "Les habitants du quartier République subissent "une double peine" : nuisances routières durant la semaine et rassemblements extérieurs le soir et le week-end.", peut-on lire dans le manifeste. Radars sonores et "dimanche sans manif" Parmi ses demandes pour réduire les nuisances sonores, le collectif demande l'installation de radars sonores pour "détecter les manifestations ne respectant pas les consignes de limitation du niveau de bruit et les dépassements d’horaires". Les riverains appellent également la préfecture à organiser des "Dimanche sans manif" une fois par mois, "comme pour les voitures", d'après le manifeste. Plus de sécurité "Il faut réguler cette zone de non droit", "qu'il y ait une force de sécurité qui puisse patrouiller et qui soit dédiée à cette zone", détaille Habib Hobeika, membre du collectif.


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